Voyage à Bali #3 ● Lovina

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Après deux petites journées à Kuta pour nous reposer et nous habituer au décalage horaire, nous avons pris la route vers le Nord de l’île. Lovina Beach est le nom d’un ensemble de villages situés en bord de mer. Ce n’est qu’une fois sur place que nous nous sommes imprégnés de la culture balinaise et de ses coutumes. Cinq jours sur place nous ont permis de visiter les environs où les activités traditionnelles et touristiques se côtoient. Pour les habitants, le tourisme représente des sources de revenus non négligeables (le salaire moyen mensuel des balinais est d’environ 100 €). Aussi, tous sont prêts à vous « aider », à vous proposer leurs services. Sans tomber dans les clichés, les « occidentaux » sont synonymes de « richesse ». À notre approche, les prix s’envolent… mais restent raisonnables pour nos portefeuilles. Le marchandage est un jeu. Nous l’avons appris à différentes occasions lors de nos escapades. Pour profiter au mieux, nous avons « découpé » nos journées en fonction de la chaleur extérieure : activités le matin, piscine et bronzage le midi, sorties en fin d’après-midi et détente dans les bars et restaurants de la ville le soir. Retour en images sur cinq jours dans la cité balnéaire à Lovina Beach.

Que faire à Lovina en 5 jours ?

  1. Immersion à Lovina
  2. Voir les dauphins et baignade dans les sources d’eau chaude
  3. Snorkeling et visite de Singaraja
  4. Excursions dans les montagnes et dans les plantations de café
  5. La cascade de Gitgit

Et, comme d’habitude, retrouvez en bas de cet article tous nos bons plans et bonnes adresses liés à ce séjour à Lovina :

  1. Comment aller à Lovina ?
  2. Où dormir à Lovina ?
  3. Où manger à Lovina ?
  4. Comment se déplacer dans Lovina ?

Jour 1 : En immersion à Lovina

Pour ce premier jour, après notre arrivée et la découverte de l’hôtel, nous avons profité de notre après-midi pour rejoindre à pied le centre de Lovina. Nous avons ainsi longé l’unique route qui borde toute la côte nord de l’île. Après 4 kilomètres, nous avons passé la porte de la ville. Les premiers décalages avec nos habitudes nous ont accompagnés : les distances ne sont pas du tout les mêmes qu’en France (nous n’avons toujours pas compris les indications sur les panneaux…), le code de la route est inexistant (le klaxon est roi !) et les ordures ménagères jonchent le seuil des maisons. Néanmoins, les vues sont paradisiaques, le soleil est au rendez-vous et les palmiers nous offrent des coins d’ombre…

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Jour 2 : Rencontre avec les dauphins et baignade dans les sources d’eau chaude

Départ à l’aube pour commencer cette seconde journée : nous partons observer les dauphins au large de la baie (dolphins watching tours). Le réveil sonne, il est 5 h 45. Quelques minutes après, nous nous retrouvons sur le bord de la plage pour embarquer à bord d’un petit bateau local, le jukung. Nous filons alors vers le large, rejoins bientôt par des dizaines d’autres bateaux qui se regroupent tous vers le même périmètre à une vingtaine de minutes de la côte. Nous n’avons pas attendu longtemps avant d’apercevoir les premiers ailerons. Un cadre idyllique avec le lever du soleil en arrière-plan. Pendant 1 heure, nous restons à l’affut des dauphins. Des ailerons par ci, une pirouette par là. Nous avons été gâtés par ce spectacle. Néanmoins, cette « chasse » aux dauphins reste une activité très touristique. En effet, dès qu’un aileron passe hors de l’eau, les guides allument les moteurs et se ruent vers les dauphins. En pleine saison (juillet et août), la multitude de bateaux et le bruit que cela engendre peuvent les effrayer et ils ne se montrent donc pas. Pour le prix, nous avons payé (avec départ juste devant l’hôtel) 70 000 rps par personne (soit un peu plus de 5 €). À savoir : le tarif pour l’observation des dauphins est réglementé et ne peux, normalement, excéder 60 000 rps par personne. Retour à l’hôtel à 8 heures, le petit déjeuner nous attend, nous avons le ventre vide mais la tête pleine de souvenirs.

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© Delphine, pour les 4 premières photos

L’après-midi, nous avons décidé de nous rendre aux sources d’eau chaude de Banjar (hot springs) situées à une dizaine de kilomètres de Lovina. Pour éviter les prix majorés avec les services de l’hôtel (la demie-journée pour un taxi avec chauffeur est de 400 000 rps), nous avons simplement attendu sur le bord de la route. Quelques minutes ont suffit pour que le premier bémo klaxonne et s’arrête à notre hauteur. Ces mini-bus locaux, de couleur bleue, relient Lovina à Singaraja (l’ancienne capitale de Bali) toute la journée. Le prix d’un trajet dépend de la longueur du trajet et de vos talents de négociateur ! Aussi, pour nous rendre aux sources d’eau chaude (arrêt normalement non desservi par les bémos), le chauffeur nous demandait 100 000 rps. Sans trop insister, nous avons eu ce trajet à 40 000 rps pour 4 personnes ! Arrivés à Banjar, la petite route qui nous mène jusqu’à l’entrée des sources est cernée de boutiques de souvenirs. Le tarif d’entrée est de 5 000 rps par personne (40 centimes d’euros). Avant de nous baigner, nous avons grignoté dans le restaurant qui surplombe les sources. Les prix sont très raisonnables pour cet établissement sans concurrence et placé dans un tel cadre. Cette halte est agréable et permet de se rafraîchir avant de s’immerger dans les trois bassins d’eau chaude. Les habitants côtoient les touristes au milieu des eaux. Les douches extérieures situées à côté des bassins sont les bienvenues à la sortie de l’eau : le souffre laisse des traces oranges sur la peau. Mais les bienfaits sont immédiats : nous repartons avec une peau toute douce !

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Jour 3 : Plongée avec les poissons et visite de Singaraja

Pour cette matinée du troisième jour, nous avons enfilé palmes, masque et tuba pour une randonnée palmée sur les récifs de la Mer de Bali (snorkeling). Comme la veille, nous avons embarqué à bord d’un jukung pour nous éloigner des côtes (où les fonds marins sont jonchés de détritus…). Après une dizaine de minutes de trajet, l’eau devient limpide, le bateau s’arrête. Nous pouvons descendre. Nous devons être approximativement à deux mètres de profondeur. L’eau est à une trentaine de degrés. Les coraux jonchent le sol. Les poissons multicolores filent entre nos mains. C’est une parenthèse magique où l’on se croirait dans un aquarium géant. Nous n’avons pas de photos de ces instants. Il faudrait qu’on investisse dans un appareil photo étanche… Retour sur le bateau puis sur la terre ferme, nous n’avons plus la notion du temps mais nous sommes restés plus d’une heure dans l’eau à admirer ce spectacle aquatique. Pour cette activité, nous avons payé 320 000 rps  (25 €) pour 4 personnes avec la location du matériel (palmes, masques et tubas) en partant depuis l’hôtel Lovina Beach, qui selon Le Petit Futé que nous avions entre les mains, est l’un des meilleurs spots pour exercer le snorkeling. Petit conseil : n’oubliez pas d’enfiler un tee-shirt par dessus votre maillots de bain pour éviter les coups de soleil à la surface de l’eau !

On avait donc pas de photos, mais le snorkeling c’est ça :
© photo Australiaveo

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L’après-midi, nous nous sommes rendus à Singaraja, l’ancienne capitale de l’île dont le nom signifie « roi lion ». Autrefois, Singaraja était le plus grand port de pêche de Bali dont dépendait sa richesse. Avec l’arrêt de cette activité, la capitale perdra son titre (Denpasar devient la capitale de Bali en 1953) et le tourisme ne viendra pas combler son déficit. Singaraja est aujourd’hui une ville peuplée et plutôt pauvre. Seuls quelques bâtiments au style colonial néerlandais nous rappellent à une époque prospère. Près de la baie, le plus grand temple bouddhiste de l’île se dresse devant nous. Le temple Chinese Klenteng (ou Ling Gwan Kiong soit littéralement « Temple du Pouvoir ») contraste avec le reste de la ville par son architecture chinoise et haute en couleurs. Le guide qui nous accompagne à l’intérieur nous explique les influences des trois religions de l’île : l’hindouisme (95 % des balinais pratiquent cette religion), le bouddhisme et le musulmanisme. Les temples abritent ses trois courants de pensée. Les trois symboles dessinés sur l’entrée en attestent. Aussi, les croix gammées – enfin ce que nous pensions à tort – sont nommées swastika à Bali et sont un symbole hindou qui représente le bien-être. En porte-bonheur, elles sont dessinées sur les temples ou les frontons des écoles et même montées en bijoux (oui, ça nous a surpris quand on on a vu une chaîne ornée d’une « croix gammée »…). Sur le front de mer, le monument Yudha Mandala Tama représente un homme pointant du doigt l’horizon. Cette statut rend hommage à un combattant de la liberté tué par un bateau de guerre néerlandais tout au début de la lutte pour l’indépendance. Nous terminons notre visite de la ville par une promenade aléatoire dans les rues de Singaraja. Les balinais profitent des derniers rayons du soleil pour se baigner et pique-niquer sur les plages. Une image qui nous a marqué… celles-ci sont jonchées de détritus. Les enfants cohabitent avec les poules et les chiens errants au milieu des déchets.

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© Delphine, pour les photos des plats, des trois symboles du temple, du marché
et de celle où on nous voit de dos

Jour 4 : Excursions dans les montagnes et dans les plantations de café

Pour ce quatrième jour, nous avons pris la direction de Munduk, petit village dans les terres, pour admirer la cascade (Munduk waterfall). Située au milieu des montagnes, le chemin pour s’y rendre est très facile d’accès. Trente minutes de marche sur un chemin… bétonné qu’il suffit de suivre. Tout a été pensé pour les touristes car même des petits commerces se sont installés le long du flanc de la montagne. Pour accéder au site, une donation doit être faite à la croisée de deux chemins. Nous nous sommes ensuite attardés sur les sentiers pour profiter de la faune et de la flore qu’offre le paysage montagneux.

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Sur la route du retour, le conducteur du taxi nous a proposé de faire un arrêt dans une plantation de café. Nous y avons découvert diverses variétés entre fruits et épices : ananas, café, vanille, cannelle, clou de girofle, gingembre, fèves de cacao, patates douces, bananes, etc. Nous avons également appris la particularité du café luwak (Kopi luwak), très apprécié par les balinais. C’est un café allégé en caféine, moins amer qu’un café traditionnel, obtenu par un procédé étonnant. Les graines de café sont mangées par le luwak, un petit mammifère vivant en Asie du Sud-Est. Un fois digérées et rejetées, les graines de café sont extraites des excréments, séchées et torréfiées. Du fait de son processus de fabrication long et rare, le café luwak est le café le plus cher du monde. Après la visite, nous sommes passés par la boutique pour acheter des épices, du thé et du café. Nous avons également fait une pause pour découvrir les boissons faites sur place. Un café luwak ? Non, personne n’a osé !

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© Dephine, pour les photos des boutons des clous de girofles et du plateau d’épices

Jour 5 : La cascade de Gitgit

Pour ce dernier jour à Lovina, nous nous sommes rendus à la cascade de Gitgit (Gitgit waterfall). À prononcer « guit guit » car « git » veut dire « cul » en balinais ! Peu de temps avant, nous avons échappé à un énorme orage. Les pluies diluviennes ont brassé les fonds de la rivière. L’eau était donc d’une couleur marron douteuse là où normalement il est possible de se baigner (l’arrivée de la cascade formant une petite piscine naturelle). L’entrée au site est de 5 000 rps par personne (40 centimes d’euros). De nombreux commerces bordent le chemin qui mène à la cascade. Très peu de touristes étaient présents ce jour là, nous avons été sollicités de toute part pour entrer dans les boutiques et acheter des souvenirs !

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Nos bons plans à Lovina

Comment se rendre à Lovina ?

À 90 kilomètres de l’aéroport de Denpasar, la baie de Lovina est située tout au Nord de l’île. Pour nous y rendre, nous avons pris un taxi avec les services de l’hôtel où nous logions à Kuta pour 600 000 rupiahs (45 €). Du fait de la circulation et du mauvais état des routes (sans parler des enfants qui jouent sur le bord, des chiens, des travaux non signalés ou même des singes qu’il faut éviter), il nous a fallu 3 heures pour relier les deux villes. Les voitures ne dépassent pas 60 km/h. Autrement, les taxis indépendants, en négociant correctement, sont souvent moins chers. Vous n’aurez pas de difficultés à en trouver un puisque les chauffeurs vous accostent directement dans la rue pour proposer leurs services. Autre alternative : des bus relient les différentes villes de Bali pour un prix encore moins élevé.

Où dormir à Lovina ?

L’hôtel Puri Saron**** est un établissement composé de plusieurs cottages situés tout autour des 3 piscines avec vue sur la mer. Un cadre idyllique. Contrairement à ce qui est noté sur différents sites d’avis, l’accès wifi est gratuit mais il se capte seulement depuis la partie commune. À notre arrivée, nous étions les seuls dans l’hôtel ! Le petit-déjeuner était ainsi servi à l’assiette et nous choisissions les plats sur la carte. Néanmoins, dès que l’hôtel fut un peu plus rempli, celui-ci était proposé sous forme de buffet. Le personnel est très serviable. Presque un peu trop car constamment « derrière » nous. Au sens littéral. Ils attendent que nous ayons choisi, « bondissent » dès qu’une assiette est vide (la dernière bouchée à peine avalée). Bref, pour l’intimité et l’envie de calme au réveil, on repassera. Pour l’hygiène, les chambres, les parties communes et les piscines sont bien entretenues. Le prix pour une nuit, petit-déjeuner inclus, est d’environ 100 €. Petit point négatif : l’hôtel est situé loin du centre de Lovina. Presqu’une heure de marche est nécessaire pour le rejoindre sur une grande route dépourvue de trottoirs. Autant dire quasi inaccessible de nuit. Il faut donc prévoir le transport, un budget supplémentaire de 50 000 rps avec les services de l’hôtel (les taxis sont très rares après 18 heures, à la tombée de la nuit).

Où manger à Lovina ?

Avant de manger, l’apéro est obligatoire ! Les bars du centre de Lovina (à Kalibukuk) proposent quasiment tous des happy hours à – 50 % sur les boissons de 17 h 00 à 19 h 30. À titre d’exemple, la bière 70 cl est à 22 000 rps (1,50 € !), le coca à 4 000 rps (0,20 € !!). Ensuite, vous n’aurez que l’embarras du choix pour vous restaurer. Nous recommandons le « Bintang Bali bar & restaurant » situé tout près de la plage sur Mawar St. Nous y avons passé nos 3 dernières soirées entre happy hours, délicieux plats et parties de belote !

Comment se déplacer à Lovina ?

En journée, rien de plus simple ! Les bémos, petites navettes de couleur bleue, relient Singaraja à Lovina sans interruption. Vous négociez le prix directement avec le chauffeur avant votre montée dans le taxi. Il vous suffira de patienter quelques minutes sur le bord de la route pour que le premier bémo s’arrête. Nous en avons même vu faire demi-tour sur la route pour nous prendre et faire descendre ses passagers (locaux) qui n’allaient pas dans notre direction ! Inutile de vous dire que le prix payé par les balinais, qui utilisent ce moyen de transport quotidiennement, est dérisoire par rapport à ce que vous allez payer. Et pourtant, pour faire Lovina – Singaraja (soit le trajet le plus long), nous avons payé 40 000 rps pour 4… soit 3 € le trajet ! Autrement, tous les hôtels proposent leurs services de taxi. À vous de comparer en fonction de l’endroit où vous vous rendrez. Il nous est arrivé à plusieurs reprises d’aller dans les autres hôtels de la ville pour demander leurs tarifs, parfois moins chers que l’hôtel où nous logions. Passé 18 heures, il vous faudra forcément prendre le taxi d’un hôtel. Les bémos s’arrêtant de circuler à la tombée de la nuit. Vous pouvez aussi louer un scooter ou une voiture. Mais, il faut être conscient que le code de la route est difficile à comprendre ( pour ne pas dire inexistant).

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Pour visualiser l’emplacement de nos étapes sur l’île, nous avons créer la carte (© by Sadalmelik, via Wikimedia Commons) ci-dessous : Kuta, Lovina et Ubud sont les 3 villes où nous avons posé nos valises le temps de notre séjour.

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Les étapes de notre voyage :

Voyage à Bali #1 ● escale à Shanghai
Voyage à Bali #2 ● Kuta
Voyage à Bali #3 ● Lovina
Voyage à Bali #4 ● Ubud
Voyage à Bali #5 ● Vidéo du séjour

8 commentaires sur “Voyage à Bali #3 ● Lovina

  1. Super récit de votre séjour à Bali, mais qu’en est-il des chauffeurs/guides privés ? Vous n’avez pas testé ? J’ai souvent lu que c’était l’un des meilleurs moyens de locomotion à Bali… et je pars en Novembre, j’avais l’espoir de trouver facilement un guide parlant français pour quelques unes de nos visites…
    En tous cas vos récits sont très bien écrits, et vos photos laissent rêveur…
    Bonne continuation…

    • Merci :)

      Pour nos excursions, nous avons effectivement privilégié ce moyen de locomotion (hors taxis de l’hôtel et bémo pour une courte distance). Nous avons pris un guide/chauffeur sur une journée ou une demie-journée pour aller dans les endroits que nous souhaitions visiter. Parfois, le guide nous conseillait quelques endroits ou arrêts. Néanmoins, il est rare que ce soit ce même guide/chauffeur qui fasse la visite dans les lieux touristiques.
      Par chance, nous sommes « tombés » au hasard d’une rue à Ubud sur un guide parlant français qui nous a accompagné sur plusieurs jours. La plupart ne parle que l’anglais (qu’ils ont appris au contact des touristes). Nous ne parlons pas très bien non plus l’anglais mais il a été facile de se comprendre. En tout cas, nous n’avons jamais eu de mauvaises surprises sur nos destinations !
      Bon voyage également pour novembre :)

  2. Je suis bien d’accord sur ta conclusion sur les dolphins watching tours à Lovina. Trop touristique, mais on a quand même la chance de voir des dauphins d’assez près.

    Sinon, n’étant pas resté très longtemps à Bali je n’ai pas vu tout ce que tu décris dans ton article, mais ça me redonne envie d’y retourner !

    • Bonjour Cécile,
      Nous étions à l’hôtel Puri Saron**** ! Un chouette endroit avec plusieurs petits cottages, 3 piscines (dont 1 pour enfants) et vue sur la mer !
      Si besoin, vous avez plus d’infos dans la partie « Y dormir » tout en bas de cet article. :)
      Bonne journée !

  3. Votre blog est très utile et donne envie d’y aller . Nous venons de réserver à Lovina Beach grâce à vous ! Merci

  4. Bonjour :)

    Merci pour ces informations,certaines nous seront bien utiles car nous sommes en Ce moment même a lovina ;)

    Petite précision : les swastika ne sont pas pareilles que les crois gamées visuellement, car Hitler a horriblement emprunté ce symbole de paix hindouiste pour en faire un symbole d’horreur mais il la légèrement inclinée…

    Merci pour cette article en tout cas !

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